Échos du campusÉCHOS DU CAMPUS

Les leaders d'opinion font l'apologie de l’Université canadienne

Adrienne ClarksonAdrienne Clarkson
L'Université d'Ottawa a été une référence de base à plusieurs points de vue pour moi, notamment en ce qui touche les langues de notre pays et l'attachement à la nature sauvage [...] Je n'avais que cinq ans quand mon père reçut son diplôme de l'Université. [...] Bien des choses se sont passées dans les soixante ans ou presque depuis mon premier contact avec l'Université d'Ottawa. Elle occupe un lieu très important dans l'éducation supérieure canadienne; c'est une institution où on peut obtenir une éducation véritablement bilingue; et elle joue un rôle central dans la capitale de ce pays. Peut-être que les Oblats de Marie-Immaculée n'ont pas anticipé le genre d'institution que cette université deviendrait. Mais dans le cas où ils l'auraient prévu, je suis sûre qu'ils en auraient tiré fierté.
– Son Excellence la très honorable Adrienne Clarkson, Gouverneure général du Canada, à l'occasion de l'obtention d'un doctorat honorifique de l'Université, le 2 novembre 2003

 

Herb GrayHerb Gray
As a great bilingual university, Ottawa U has been concerned with helping strengthen the francophone linguistic and cultural base, in places like my home city of Windsor, and all of Ontario. (Also, it has been a source of higher education for students from the western part of the province of Québec)... The University is here, in Canada's capital, just a few blocks away from Canada's seat of government the Parliament Buildings. Therefore, it has always had, as a special vocation, the education of people who would go on to devote much of their lives to careers of both elected and non-elected public service... C'est évident que l'Université d'Ottawa est un trait d'union - a vital link in the fabric that makes Canada one of the greatest countries in the world."
– Le très honorable Herb Gray, C.P., président canadien de la Commission mixte internationale, à l'occasion de l'obtention d'un doctorat honorifique de l'Université, le 2 novembre 2003

 

Paul TellierPaul Tellier
Recevoir un honneur de la part de mon alma mater m'est une grande source de fierté. J'ai passé cinq ans à l'Université d'Ottawa, l'Université canadienne – et cette expérience a façonné le jeune adulte que j'étais, et par la suite mon avenir professionnel.
Paul Tellier, président-directeur général de Bombardier Inc., récipiendaire du Trophée Méritas Tabaret 2003 de l'Université d'Ottawa, le 28 octobre 2003

 

Hilary WestonHilary Weston
When I hosted an event for University of Ottawa during my term as Lieutenant Governor, to commemorate its 150th Anniversary, I was aware of several interesting things about ‘Canada's university’. I knew that the University of Ottawa is the largest bilingual university in North America, that it plays a key role in the promotion of women, and that many of its outstanding alumni have played important roles in Canada's economic and social development . . . 
– Hilary Weston, dirigeante communautaire et ancienne Lieutenante-gouverneure de l'Ontario, récipiendaire d'un Prix d'excellence pour le leadership au Canada 2003 de l'Université d'Ottawa, le 28 octobre 2003 

 

Stephen JarislowskyStephen Jarislowsky
Notre choix s'est arrêté sur l'Université d'Ottawa, sise dans la capitale nationale où siège la bureaucratie et où les politiciens convergent. Son fonctionnement bilingue et biculturel nous a aussi beaucoup attiré... De ce fait, l'Université peut établir des rapports dans tout le Canada dans les deux langues officielles. Elle trouve d'ailleurs dans sa cour arrière, un laboratoire entier. Elle n'a que deux pas à faire pour proclamer ses résultats et les modèles proposés qui en découlent... Enfin, nous avons trouvé un auditoire captif prêt à mettre en pratique notre idée, qui, nous croyons, est aussi partagée par la fonction publique d'Ottawa. En somme, voilà pourquoi la grande université bilingue qu'est l'Université d'Ottawa – l'Université canadienne – a été notre choix...
- Le gestionnaire de fonds Stephen Jarislowsky explique pourquoi il a choisi l'Université d'Ottawa pour établir la Chaire Jarislowsky sur la gestion dans le secteur public, 23 septembre 2003

 

John SextonJohn Sexton
C’est un honneur pour moi que d’avoir été invité sur le campus de l’un des plus grands centres de recherche et d’enseignement en Amérique du Nord –l'Université canadienne –, une université qui, à l’instar de NYU, voit son emplacement comme faisant partie de sa nature essentielle et qui favorise des échanges franchissant les frontières culturelles et traditionnelles.

– John Sexton, président de la New York University, lors de la Conférence Postes Canada, à l’Université d’Ottawa, le 9 septembre 2003

 
 

Robert PrichardRobert Prichard
On ne saurait imaginer la France sans la Sorbonne, l’Angleterre sans la LSE, le Japon sans l’Université de Tokyo, la Chine sans l’Université de Pékin, le Mexique sans l’UNAM, Israël sans l’Université hébraïque de Jérusalem ou l’Italie sans l’Université de Rome. Chacune de ces grandes universités est située dans la capitale de son pays et aide celui-ci à se définir.

L’Université d’Ottawa a l’occasion de relever un défi tout autant magnifique pour le Canada : être au centre d’un projet suscitant la fierté et l’intérêt de toute la nation, renforcer et enrichir l’identité et la capacité du pays, offrir à ses étudiants d’extraordinaires occasions d’apprentissage et insuffler à la population de la capitale le désir de réaliser le plein potentiel de la contribution canadienne à la communauté internationale. Les gouvernements qui sont appelés à façonner l’identité matérielle d’Ottawa et à bâtir de nouvelles et merveilleuses institutions pour faire valoir l’histoire et les réalisations de notre nation devraient aussi voir à ce que l’Université d’Ottawa soit soutenue et célébrée comme l’un des plus grands joyaux canadiens. Pour que l’Université d’Ottawa soit ainsi reconnue comme l’Université canadienne.

– Extrait du discours prononcé par Robert S. Prichard, pdg de Torstar Corporation et ancien président de l’Université de Toronto, à la remise de son doctorat honorifique, le 6 juin 2003