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As-tu deux minutes? - Danielle Bennett

Désirez-vous qu’on parle de vous dans cette chronique? Voulez-vous mieux connaître une ou un collègue de travail? Répondez au questionnaire en ligne ou faites-le nous savoir par courriel à gazette@uOttawa.ca ou communiquez avec Stéphanie D'Aoust, au 613-562-5708.

Danielle Bennett  
   
Danielle Bennett, chef de la promotion de l’appartenance, Bureau des relations avec les anciens

Quelle est votre fonction la plus importante à l’Université? Pourquoi?

Je suis responsable des communications avec les anciennes et anciens. Parfois, j’entends le commentaire suivant : « J’ai des nouvelles de mon alma mater seulement quand l’Université a besoin d’argent. » Je peux changer cette perception en leur faisant parvenir des invitations et des nouvelles de leur université, et en les encourageant à donner d’une autre façon, en offrant temps ou expertise, par exemple.

Qu’est-ce qui vous inspire le plus dans votre travail?

Les gens extraordinaires que je rencontre. Nous avons des anciens et anciennes de toutes les conditions sociales, de tous les coins du monde et dans toutes sortes de métiers qui font des choses très inspirantes. C’est bien de savoir que l’éducation qu’ils ont reçue à l’Université d’Ottawa a contribué à faire d’eux ce qu’ils sont aujourd’hui.

Si vous en aviez le pouvoir, que changeriez-vous dans le monde d’aujourd’hui?

Il faudrait déclarer illégal le fait de jeter des déchets dans la rue. Sérieusement, rien ne me choque plus que de voir quelqu’un jeter des ordures sur le trottoir, sans aucune gêne.

Quel est votre passe-temps préféré?

La lecture.

Vous avez gagné un million de dollars. Que faites-vous?

Je paie mes dettes, j’investis le reste pour l’éducation de mes enfants et pour ma retraite. Bien entendu, j’en donne un peu aux membres de ma famille immédiate…

Quelles cinq personnes (vivantes ou décédées) aimeriez-vous inviter à souper? Dites-nous pourquoi.

J’inviterais ma grand-mère maternelle et mes arrière-grands-parents. Ce serait vraiment génial de les entendre parler des défis qu’ils ont eu à relever, de la vie telle qu’elle était dans leur temps, des aspirations et des rêves qu’ils caressaient pour leurs enfants.

Où vous voyez-vous dans cinq ans?

Si la tendance se maintient, je travaillerai une fois de plus pour une autre université (ha! ha!). J’aimerais diriger un service dans un collège ou une université.