François Rochon
Le 1er mars dernier, des collègues, des retraités de l’Université et des amis se sont réunis au salon du Complexe résidentiel pour rendre hommage à Arlette Henry, qui prend sa retraite après 32 années de travail à l’Université.
Mme Henry a d’abord fait carrière au Département de géographie, puis à la Faculté des arts, où elle est devenue gestionnaire de l’ensemble des programmes de premier cycle. Au moment de son départ, elle était registraire associée.
Le paysage universitaire s’est modifié en profondeur au fil des années, et Mme Henry a contribué à améliorer les processus scolaires. De l’introduction du contingentement des inscriptions à la mise en service de technologies sophistiquées, Arlette Henry a fait preuve de leadership et manifesté une volonté inébranlable de mener à terme les projets qui lui étaient confiés. Sa qualité la plus noble consiste sans doute à avoir toujours pris en considération les intérêts de la population étudiante. Ce faisant, elle a fait honneur à la mission de l’Université d’Ottawa : fournir aux étudiants une expérience universitaire incomparable.
Outre ses fonctions professionnelles, Mme Henry s’est consacrée à plusieurs organismes bénévoles et à des douzaines de comités consultatifs au cours des années. Elle a mérité l’admiration de toute la collectivité universitaire pour son engagement bénévole à titre de présidente de la campagne Centraide à l’Université.
« Vous avez l’admirable besoin de vous dévouer sans cesse pour les autres afin d’améliorer leur qualité de vie », lui a écrit le recteur Gilles Patry dans une lettre dont l’assistance a pris connaissance lors d’une réception soulignant son départ à la retraite. « Vous avez toujours assumé vos fonctions avec énergie, dévouement et altruisme », a-t-il ajouté.
Arlette Henry ne quitte pas l’Université sans regret. À la réception, elle a évoqué les tendres souvenirs, de nature professionnelle et personnelle, qu’elle gardera de ses années à l’Université. Au cours des prochains mois, elle projette de voyager, mais aussi de rester en contact avec l’Université qui lui a tellement apporté au fil des années.
