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As-tu deux minutes? — Jennifer Edwards de Becceril

Désirez-vous qu’on parle de vous dans cette chronique? Voulez-vous mieux connaître une ou un collègue de travail? Répondez au questionnaire en ligne ou faites-le nous savoir par courriel à gazette@uOttawa.ca ou communiquez avec Brigitte Génier, au 562-5708.

Jennifer Edwards de Becceril
Jennifer Edwards de Becceril
Coordonnatrice du recrutement facultaire
 

Quelle est votre fonction la plus importante à l’Université? Pourquoi?

Ma fonction la plus importante, c’est d’aider les facultés pendant le recrutement des nouveaux professeurs, la présélection des candidats et les activités consécutives à l’embauche. Le recrutement sera intense au cours des prochaines années. Mon poste est le point de convergence des communications des facultés sur tout ce qui concerne le recrutement. J’offre un soutien aux membres du corps professoral nouvellement engagés qui doivent emménager à Ottawa, pour que leur expérience soit agréable dès le départ.

Qu’est-ce qui vous inspire le plus, dans ce travail?

Je suis diplômée de l’École de gestion de l’Université d’Ottawa. J’ai connu l’Université comme étudiante et je me rappelle bien les professeurs qui m’ont le plus marquée. Je suis donc inspirée par la pensée que les nouvelles recrues avec qui je collabore étroitement aujourd’hui deviendront à leur tour des guides marquants.

Quelle est la chose que vos collègues de travail seraient le plus surpris d’apprendre à votre sujet?

De savoir que j’ai joué dans un téléroman mexicain!

Quelles cinq personnes (vivantes ou décédées) aimeriez-vous inviter à souper? Dites-nous pourquoi.

Mon mari, pour qu’il soit tout à côté de moi.

Terry Fox, pour lui dire à quel point j’admire son courage.

Celia Cruz, qui assurerait un excellent divertissement après le dîner.

Gary Larson, pour voir si son humour est aussi tordu en conversation que dans ses caricatures.

Catriona Lemay Doan, pour lui demander ce qu’il faut pour gagner une médaille d’or aux Olympiques et comment on se sent quand on y arrive.

Quel est votre plus grand espoir pour l’avenir?

Le monde n’est pas parfait et je souhaite qu’il devienne moins imparfait chaque jour.