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Le leadership vu par des leaders

Angela Hewitt au piano  
Le 1er novembre 2005, quelque 350 invités ont participé au banquet donné en l’honneur des lauréats du Prix d’excellence pour le leadership au Canada au Musée des beaux-arts du Canada, où, en plus de se régaler, ils ont assisté à une cérémonie et à un concert.

Étaient prévus au programme de la soirée, la troisième organisée par l’Université, des discours prononcés par les lauréats du Prix, Louise Fréchette, Rick Hansen et Bob Rae, ainsi qu’un discours et le concert de la lauréate du trophée Meritas-Tabaret, la célèbre pianiste Angela Hewitt, qui a joué cinq mouvements de la Suite française en  G majeur de Jean-Sébastien Bach.

Les membres de l’Atelier d’opéra de l’Université – la soprano Katie Murphy, le baryton Jean-Sébastien Kennedy et la pianiste accompagnatrice Hannah Parks – ont également présenté un duo et des arias d’œuvres de Mozart et de Leonard Bernstein.

Dans son allocution, Mme Hewitt a expliqué aux invités que pour faire preuve de leadership, il fallait parfois se faire violence.

Les autres lauréats se sont également exprimés avec humour sur divers aspects du leadership.

L’ancien premier ministre de l’Ontario, M. Bob Rae, a expliqué que diriger, c’était un peu comme faire office de chef d’orchestre, plutôt que de suivre le mouvement. Le président et chef de la direction de la Fondation Man in Motion, Rick Hansen, a analysé le puissant rôle de catalyseur du changement d’attitude, tandis que la vice-secrétaire générale de l’Organisation des Nations Unies, Louise Fréchette, a établi une distinction entre ceux qui dirigent en jouant sur la peur et ceux qui dirigent en suscitant l’espoir.

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