Échos du campusÉCHOS DU CAMPUS

Deux grands projets ont marqué 2004

La réputation de l’Université était au cœur de deux projets importants qui ont marqué 2004 et qui auront encore des répercussions pour plusieurs années à venir : l’exercice de planification scolaire stratégique Vision 2010 et le lancement de la plus grande campagne de financement dans l’histoire de l’Université.

Poursuivant une démarche entreprise en 2003 en vue de renouveler son image de marque, l’Université a lancé un nouveau logo en avril.

L’École d’études politiques, qui a vu le jour à la Faculté des sciences sociales, aura bientôt pignon sur rue, avec l’École de gestion, le Centre d’études en gouvernance et le Département de science économique, dans le nouvel édifice multidisciplinaire dont la construction débutera ce printemps dans le terrain situé à l’angle des rues Laurier, Nicholas et Waller.

Sur le campus du chemin Smyth, on a entrepris la construction d’une nouvelle aile du pavillon Roger-Guindon qui abritera, entre autres, un institut sur la biologie des systèmes anatomiques (systems biology).


Le Complexe des biosciences, dont la dernière étape – la rénovation du pavillon Gendron – devrait être achevée en août 2005, a défrayé la manchette en remportant le prix du bâtiment le plus éconergétique du Canada. On a recréé dans la cour intérieure du Complexe une forêt boréale et une zone humide, qui se voudront à la fois une salle de classe vivante et un lieu de repos.

Comme par le passé, les membres du corps professoral ont remporté de nombreux prix et reçu d’importantes subventions d’organismes tels que la Fondation canadienne de l’innovation. D’ailleurs, un rapport publié en novembre plaçait l’Université d’Ottawa au 7e rang au pays en ce qui a trait aux montants des subventions par chercheur.

L’un de ces éminents chercheurs, le chimiste Juan « Tito » Scaiano, récipiendaire de deux prix d’une valeur d’un million de dollars chacun, a décidé de mettre sur pied un fonds de bourse à l’intention des étudiants au doctorat en sciences.

Au cours de la dernière année, quatre piliers de l’Université ont décidé de prendre leur retraite : Carole Workman, vice-recteure aux ressources pendant 12 ans; Bernard Philogène, qui fut le premier doyen de la Faculté des sciences et qui occupa le poste de vice-recteur à l’enseignement et à la recherche de 1990 à 1997; Henri Wong, un pionnier des programmes coop et ex-vice-recteur adjoint aux effectifs scolaires et registraire; Hubert Reiter, directeur du Service de la protection.

Les Gee-Gees – en particulier les équipes féminines de soccer, de basket-ball et de hockey – auront connu l’une des années les plus fructueuses de leur histoire en 2004.