Le critère fondamental d’admission à l’École est le talent, et c’est ce qui a fait la différence pour Victor Trelles Turgeon et Mani Soleymanlou. Après l’audition, l’entrevue et la présentation d’un projet, les deux étudiants ont participé en mai à un stage intensif d’une semaine à l’École. Ils ont été sélectionnés à la suite de leur prestation, notamment en improvisation, interprétation, chant et danse. Ils commenceront à l’École au début de septembre.
La réputation de l’École nationale de théâtre, établie à Montréal depuis 1960, n’est plus à faire. On y a formé plus de 1 500 professionnels du théâtre et des arts de la scène.
Victor Trelles Turgeon, présentement inscrit au baccaulauréat en concentration théâtre en interprétation, se destine à la vie d’acteur professionnel. Il apportera dans son bagage d’acteur le stage qu’il effectue à Dramamuse, la compagnie de théâtre du Musée canadien des civilisations, où il travaille cet été.
Quant à Mani Soleymanlou, il compte finir son baccalauréat avec spécialisation en théâtre cet été, pour se consacrer ensuite entièrement à l’École et réaliser son rêve de devenir acteur professionnel. Il valorise le jeu et entend en apprendre beaucoup sur ce métier déjà bien ancré en lui.
Un autre candidat de l’Université d’Ottawa, Pierre Antoine Lafon Simard, nouvellement diplômé en concentration théâtre en interprétation, a été accepté au Conservatoire d’art dramatique de Québec.
Quant à Constant Bernard, étudiant de première année au Département de théâtre, il fera partie du groupe des « Top 32 » finalistes cherchant à obtenir le titre de « Canadian Idol ».