Heather Lynch
En route pour le travail ou sur le campus, vous avez peut-être remarqué ces panneaux de recrutement nouveaux et frappants? Ils représentent notre toute première campagne intégrée pour le recrutement d’étudiantes et d’étudiants des premier, deuxième et troisième cycles.
Bien que l’Université ait déjà fait de la publicité visant la clientèle étudiante du premier cycle, c’est la première fois qu’elle tente une démarche qui englobe aussi les cycles supérieurs. C’est le moyen choisi pour augmenter du tiers le nombre d’inscriptions aux études supérieures, selon l’objectif énoncé dans Vision 2010.
La campagne, qui utilise comme accroche les phrases « Ici je suis riche d’expériences diverses » au premier cycle et « Ça part d’ici » aux cycles supérieurs, présentait un certain nombre de difficultés, explique Paul Boult, directeur du Service du marketing.
« Pour commencer, nous savions que les principaux documents destinés à la clientèle du premier cycle ont une durée de vie supplémentaire d’une année. Il fallait donc que tous les nouveaux documents rappellent ces produits. De plus, il fallait que les deux campagnes aient une présentation et dégagent une impression identiques », ajoute Boult. Sans compter qu’il fallait adapter la campagne du premier cycle à une diversité de lieux géographiques.
« La plupart des élèves du secondaire font déjà des plans d’études supérieures. Ils se voient à la maîtrise ou au doctorat, dans le domaine de leur choix. Dans cette perspective, promouvoir les études de deuxième et de troisième cycles est donc une stratégie très judicieuse pour l’Université », ajoute François Chapleau, vice-recteur associé, Gestion des effectifs scolaires et registraire.
La créativité exigée par l’élaboration de la campagne n’a d’égal que celle qu’il a fallu investir dans son exécution. Montréal étant l’un des marchés ciblés pour les études supérieures, l’Université a décidé d’axer ses efforts sur quatre stations de métro en accordant une attention particulière à celles où la circulation étudiantes est le plus intense, soit McGill et Berri-UQAM. Ce volet de la campagne, qui comportait des banderoles, des panneaux de plancher, des panneaux d’affichage et des annonces dans les wagons, doit durer jusqu’au mois de mars.
Isabelle Légaré, chef de la publicité, médias du Service du marketing, examine les affiches de recrutement à Montréal.
Cette campagne pour recruter des étudiants diplômés exploite aussi de façon dynamique les journaux universitaires de l’Ontario, du Québec et des Maritimes. Dans tous les cas, la promotion se fait également à la radio, à la télé, dans les cinémas, à bord des autobus, dans les abribus, sur Internet et dans les classes!
« L’Université d’Ottawa, l’un des plus grands établissements universitaires à vocation de recherche au pays, offre à sa population étudiante des cycles supérieurs d’exceptionnelles conditions de financement, qui figurent parmi les meilleures au Canada. Malheureusement, c’est un secret bien gardé, surtout au Québec, où les droits de scolarité ont suivi une évolution différente. Le temps est maintenant venu de le faire savoir! » souligne Gary Slater, doyen de la Faculté d’études supérieures et postdoctorales.
Le but étant de faire de l’Université d’Ottawa la destination de choix des étudiantes et étudiants de tous les échelons, cette campagne nouvelle et audacieuse n’est qu’un des principaux éléments de l’exécution complexe de notre stratégie de recrutement. Elle a été élaborée en étroite collaboration avec la Faculté des études supérieures et postdoctorales et le Secteur de la gestion des effectifs scolaires.
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