Désirez-vous qu’on parle de vous dans cette chronique? Voulez-vous mieux connaître une ou un collègue de travail? Répondez au questionnaire en ligne ou faites-le nous savoir par courriel à gazette@uOttawa.ca ou communiquez avec Mélanie Rainville, au 613-562-5708.
Audrey Giles, professeure adjointe, École des sciences de l’activité physique
Quelle est votre fonction la plus importante à l’Université?Ma fonction la plus importante est d’attirer l’attention sur les pratiques physiques d’un des groupes les plus marginalisés au Canada, celui des femmes autochtones des collectivités nordiques et polaires.
Qu’est-ce qui vous inspire le plus dans votre travail? Ce qui m’inspire, ce sont les étudiants qui me disent que je les ai amenés à considérer leur univers sous un jour nouveau. Existe-t-il un plus beau compliment que celui-là?
Comment en êtes-vous arrivée à vous intéresser à votre domaine de recherche? Après avoir passé mes étés à travailler en région éloignée, comme superviseure de piscine dans des collectivités inuites, cries et dénées (sans blague!), j’ai été frappée par le fait que les expériences des peuples autochtones, et en particulier des jeunes filles et des femmes qui vivent dans les communautés éloignées, étaient systématiquement négligées dans la littérature savante.
Quelle est la chose que vos collègues de travail seraient le plus surpris d’apprendre à votre sujet? Mon âge! Je suis sans doute l’un des plus jeunes professeurs à l’Université.
Quel est votre passe-temps préféré? Dresser mon brillant colley bilingue, Tundra!