Désirez-vous qu’on parle de vous dans cette chronique? Voulez-vous mieux connaître une ou un collègue de travail? Répondez au questionnaire en ligne ou faites-le nous savoir par courriel à gazette@uOttawa.ca ou communiquez avec Brigitte Génier, au 562-5708.
Quelle est votre fonction la plus importante à l’Université et pourquoi?
M’assurer que mes étudiantes et mes étudiants ne dorment pas pendant mes cours. À mon avis, ils apprennent mieux comme ça (clin d’œil).
Qu’est-ce qui vous inspire le plus dans votre travail?
Élargir les horizons. Voir cette expression « Vraiment? Sensationnel! » sur la figure d’une étudiante ou d’un étudiant de première année lorsqu’il ou elle saisit tout à coup quelque chose.
Comment en êtes-vous arrivé à vous intéresser à votre domaine de recherche?
Je me suis toujours demandé pourquoi les gens étaient attirés vers les « sectes » (les nouvelles religions).
Quel moment dans votre vie vous a donné le plus de fierté?
C’est quand on a posé l’épitoge sur mes épaules, lors de la collation des grades, au Centre national des arts (Ph.D. Université d’Ottawa, 2001).
Si vous en aviez le pouvoir, que changeriez-vous dans le monde d’aujourd’hui?
J’aimerais voir les gens de cultures et de religions différentes se parler et découvrir qu’ils ne sont pas si différents que cela.
Quelle personne a exercé la plus grande influence dans votre vie? Pourquoi?
J’ai de la difficulté à répondre à cette question. Il y a trois professeurs qui ont exercé une grande influence sur moi. Et en tant qu’auteure, je dois dire que le regretté poète Irving Layton a été la personne qui a exercé la plus grande influence artistique dans ma vie. (J’ai suivi deux cours de premier cycle avec lui et il était brillant!)
Quelle est la chose que vos collègues de travail seraient le plus surpris d’apprendre à votre sujet?
Mon âge réel…
Quel est votre passe-temps préféré?
J’ai le même passe-temps depuis l’âge de 16 ans : la recréation historique avec une organisation internationale appelée « La société créative d’anachronisme ». Dans ce monde-là, je peux être une baronne ou un maître artisan.
Vous avez gagné un million de dollars. Que faites-vous?
Je mets sur pied quelques fondations, dont une pour aider les personnes qui étudient à temps partiel et les adultes qui retournent aux études. (Je me gâte aussi, bien sûr : j’achète une voiture neuve, une maison, quelques cadeaux extravagants pour les membres de ma famille…)
Selon vous, quelle qualité est la plus précieuse?
J’apprécie beaucoup l’honnêteté chez les autres. Ma plus grande qualité semble être la capacité de faire rire les gens, même lorsqu’il arrive des évènements terribles et déprimants.
Quelles cinq personnes (vivantes ou décédées) aimeriez-vous inviter à souper? Dites-nous pourquoi.
Où vous voyez-vous dans cinq ans?
J’espère être professeure titulaire dans une université, quelque part…
Quel est votre plus grand espoir pour l’avenir?
Au niveau mondial, que le dialogue et la compréhension s’établissent entre les peuples. Pour moi-même, finir de déballer mes boîtes et de ranger mes livres sur mes tablettes (oui, honnêtement).
Quel est le secret le mieux gardé de votre faculté, département ou service?
L’option « études interculturelles » du programme de B.A.